Diesel – Be stupid – la blonde qui montre ses seins en vidéo

Bon, cette fois-ci, round suivant de la campagne « Be Stupid » de Diesel. Après la série d’images délirantes, une jolie blonde armée d’une échelle rouge se balade dans la rue à la recherche de caméras de surveillances pour montrer ses seins, un peu comme dans cette image :

diesel be stupid

Tout ceci évidemment se passe en vidéos : deux proviennent d’ailleurs de caméras de surveillance :

Quelle sera la prochaine étape ?? On peut s’attendre au pire ^^

Trouvé chez PPC

Une Playboy Girl en Fiat 500 sur circuit

J’ai eu la chance de tester une Fiat 500 sur circuit, mais je n’ai pas eu le privilège d’avoir une copilote aussi sexy que cette Playboy girl.

Le pire, c’est qu’elle a l’air de cartonner en terme de trajectoires et de vitesse 😉

Chatroulette – Video de Casey Neistat

Casey Neistat a fait une vidéo en anglais pour parler de chatroulette (the service qui buzz avec plein de pervers dedans :P).

Si tu comprends l’anglais, cette vidéo devrait t’interesser (ou pas).

chat roulette from Casey Neistat on Vimeo.

Vidéo trouvée chez Befaure, qui lui-même l’avait trouvée sur WhiteZine

The Brussels’ way : façon Fightstar !

Vendredi 19/02/2010,12h30, je donne rendez-vous Gare du Nord à mon frère et à mon meilleur pote pour un Road Trip dans Bruxelles. Objectif : voir un live du groupe Fightstar ! Tout est organisé par ma moitié, train aller-retour, billet de concert, chambre d’hôtel, plan,…

L’incident du début de semaine en Belgique sème la zizanie dans les rangs de la SNCF, plusieurs Thalys sont supprimés. Le passage devant les wagons accidentés témoigne de l’ampleur des dégâts engendrés par ce malheureux évènement. Malgré cela nous arrivons à 14h50 Gare du Midi à Bruxelles.

On ne plaisante pas avec la sécurité des rails à Bruxelles
On ne plaisante avec la sécurité des rails à Bruxelles

Direction le quartier De Brouckere où est situé notre hôtel à Bruxelles. Au programme : visite du centre ville, de la Grand-Place, du Manneken-pis et des rues piétonnes. Hormis ces lieux typiques qui apportent un certain charme à cette ville, les escapades s’avèrent relativement réduites.

La nuit tombe enfin, il est 19h45 lorsque nous sortons du métro 5 Station Compte de Flandre. Petite surprise : nous sommes en plein milieu du quartier turque ! Original pour un concert de Rock / Progressive / Metal. Nous trouvons le Club De Vaartkapoen au 76 rue de l’école, situé entre un immeuble désaffecté et un kebab. La salle ressemble au Nouveau Casino de Paris. A peine le temps de commander une bière que les lumières se tamisent. White Light Parade assure la première partie et livre un set correct. La batteuse se donne à fond mais le son du bassiste est bien trop fort. Le groupe anglais propose un répertoire Rock / Punk / Alternatif. Cela nous fait patienter.

L’installation du matos de Fightstar nous permet de siroter 2 autres bières et quelques « checks sons » plus tard, le combo anglais apparaît sur scène. J’entre donc personnellement dans un monde parallèle où cette musique me donne la chair de poule. Je suis tellement dans le live que j’en oublie de noter la set list. Ca donnera à peu près ça, dans le désordre :

  • War Machine
  • The english way
  • Colours Bleed To red
  • Mercury Summer
  • Chemical Blood
  • We Apologize for nothing
  • Paint Your Target
  • Amaze Us
  • Grand Unification, Pt 1
  • Sleep Well Tonight
  • Fight For us
  • Build An Army
  • Deahtcar

Les 3 albums sont bien représentés avec une orientation clairement néo-métal où les chansons plus douces ne font pas partie du show. Cela nous permet d’apprécier la bonne grosse voix grunge de Charlie Simpson. Petits bémols, les quelques problèmes de son sur le micro d’Alex Westaway (préjudiciables car sa voix apporte cette légère touche mélodique que l’on attend dans un titre bien bourrin) et le volume de sa guitare pas assez fort à mon goût. Mais l’énergie que lui et les siens envoient fait oublier tout le reste. Les riffs de « Sleep Welle Tonight » et « Grand unificatio, Pt 1 » sont les deux claques de la soirée. « Mercury Summer« , « The english way » et « We apologize for nothing » s’inscrivent dans la lignée des titres à avoir dans son Ipod. « War Machine » me transporte au-delà du temps et « Paint your target » me fait sauter dans tous les sens. Les minutes s’écoulent ; plus les bombes s’enchaînent et plus ces gars originaires de Londres montent en puissance pour finir sur un explosif Deathcar qui nous achève en beauté. Charlie a lâché la gratte pour tout donner sur la voix. A ce moment là je comprends pourquoi ce groupe cartonne en Angleterre (Kerrang magazine a élu l’album Grand Unification comme l’un des meilleurs albums rock de ces dix dernières années, NME lui a donné 8 / 10) et regrette que la France et la Belgique ne suivent pas le mouvement. Mon sentiment est renforcé lorsque les lumières se rallument : nous ne sommes pas plus de 30 personnes dans la salle. Décidément la formation londonienne de 2003 n’a pas ce qu’elle mérite. Le concert se finit sur une séance dédicace où je m’aperçois que Fightstar ne lésine pas sur les photos, les sourires, les discussions,…

Fightstar en live à Bruxelles
Fightstar en live à Bruxelles

Le groupe suivant INME possède la lourde tâche de conclure cette soirée. Nous ne restons que pour les 2 premières chansons. Il est tard, et le « bruit » qui sort des enceintes n’est pas à notre goût. Nous finissons la soirée dans un bar à côté de l’hôtel.

Le lendemain, le retour à la réalité est difficile, un petit détour par l’atonium de Bruxelles et il est temps pour nous de reprendre le train pour Paris.

En conclusion, je n’ai qu’un conseil à vous donner : pointez-vous Mercredi soir à 19h30 à la Flèche d’Or à Paris, places en vente le soir même à 8 euros, boisson comprise.

Musicalement votre une fois !

* Ceci est le premier article de Matt 😉

Plus d’info sur Fightstar

Le Quatuor

Hier soir, J’ai été voir le Quatuor.

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Verdict :

Les premières secondes un peu déroutantes : on danse autour d’un arbre, on découvre les instruments. Mais très vite quelques notes, quelques accords bien maitrisés. Les 4 saisons… le comique et la musique sont là, c’est maitrisé, drôle, le jeu est plaisant, on est entré, on s’amuse.

L’histoire avance : c’est rythmé et varié. Pour notre plaisir une satire réussie de l’enseignement de Masto…
Grand mère vient jouer. On la connaît tous, elle n’arrive pas à s’assoir, son archer tremble, va-t-elle réussir à le poser sur l’instrument ? Elle nous interprète magistralement les 4 premières notes d’une œuvre d’un certain Jean-Sébastien…

Quelques accords profonds d’une énorme contrebasse nous rappellent que l’instrument était à l’orgine bois et boyaux, vibrant et prenant.  Quel talent !

LE Karaokë… Bon OK, ils ont 30 de scène, les morceaux ne sont pas forcément connus de notre génération, mais qu’importe, les quelques coquilles, les quelques bizarreries dans les textes animent la salle. On se laisse faire et ça marche.
Pour le reste il faudra aller constater par vous même, vous ne serez pas déçu… Mais dépêchez vous !

J’ai vraiment aimé :

Lorsqu’ils jouent sur deux instruments à la fois (cet enchevêtrements de bras, de coudes, de mains, d’archers, comment font ils ?)
Les Rock américain
La vache :p
Thriller oui oui… Juste énormissime…
Les nombreux mimes & mimiques, et ponctuations.

J’ai moins aimé
Juste une partie sur l’Amour perdu, je connaissais moins les airs…

Marine, 22 ans, opérée de chirurgie réfractive !

Myope depuis l’age de 8 ans, je ne me souviens pas de la dernière fois où j’ai vu correctement sans correction ! En 14 ans, ma vu a baissé, puis s’est stabilisé, atteignant les -5,50 à chaque oeil ! ça ne vous parle peut-être pas beaucoup mais en gros, sans lunettes, j’étais dans le flou total!

N’en pouvant plus de ses lunettes qui sont lourdes, se raccrochent, glissent … de ses lentilles qui séchent, se plient, tombent, se perdent, … j’ai décidé de passer le cap, de me faire opérée de chirurgie réfractive !

J’ai donc confié mes petits yeux au Dr Michel PEREZ, ophtalmologue à Dijon, opérant à la Clinique de la Vision à Paris. Après avoir passé divers examen, il m’a annoncé que j’avais passé les tests avec brio et que j’avais droit au top du top, au lasik intralase bilatérale avec aberrométrie !

Les jours passent, la date de l’opération approche … Je me dirige vers la Clinique, une boule au ventre, le sourire aux lèvres!

Une fois à la clinique, je repasse des examens complémentaires, on me donne un petit cachet pour voir la vie en rose et on m’emmène au bloc opératoire.

Et hop, une découpe, deux découpes, un coup de laser, deux coups de laser et le tour est joué!

Il ne faut tout de même pas se mentir, avec cette technique, vos yeux sont tout de même douloureux pendant 3-4h.

Après cela, je suis tranquillement rentrée chez moi, avec mes lunettes de cosmonaute… et là, plus les heures passent, plus la douleur se calme, plus la vue s’améliore.

Je me suis couché en faisant un remake de « La Mouche » … mais le matin, au réveil, quelle agréable surprise … j’ai vu nettement les chiffres du réveil sans bouger de ma place, pas besoin d’amener les choses à 5 cm de mon visage pour les voir, plus besoin de s’inquiéter et de se dire « mais qu’est ce que j’ai encore fait des mes lunettes ? » … plein de petites habitudes contraignantes qui partent à la poubelle en moins de 24 heures …. c’est l’un des plus beau moment de ma vie …

Il est vrai qu’une opération de chirurgie réfractive est assez onéreuse, mais au final, on se rend compte que ça n’a pas de prix ….