Une fois de plus, les mots clefs sont là pour attirer le chaland. Et en un sens, ils ne sont pas trop dans le mensonge, car si l’on vend de l’action, de la première personne (POV), de la violence, du jeu vidéo, du sexe, de la musique, du parkour, de la Russie, de la folie, du long métrage, du clip, du saut en parachute, des kalachnikovs, de la baston, des cascades et des mannequins russes, on a tout ça dans un même film : Hardcore Henry.
Réalisé par Ilya Naishuller, à qui l’on doit déjà le clip Bad Motherfucker , le réalisateur avait déjà bien fait parler de lui, et on retrouve dans ce long métrage les ingrédients qui faisaient déjà la joie des fans de jeux vidéos que nous sommes. Pendant 1h30 on voit donc par les yeux d’Henry, sorte d’espion devenu cyborg, qui s’échappe du laboratoire où il est enfermé pour la ville de Moscou, que l’on visite au fil du film, sous les coups de feu et les chutes d’hélicoptère, le tout filmé à la GoPro.
Voici donc le trailer du film, bien dynamique.
Les sportifs de l’extrême n’ont plus qu’à bien se tenir !
Pour aller plus loin, le making of est intéressant, histoire de voir comment se préparent les combats et les cascades. Quand on voit la façon dont tout s’enchaine dans le film, ce clip est un concentré de violence et de cascades incroyable.